Lors de la préparation de notre voyage en Italie, j’avais un peu regardé les différents sites d’URBEX qu’il y a dans le pays afin d’avoir quelques idées de potentiels endroits sympa à aller visiter. En réalisant ces recherches, je suis tombé sur un endroit que j’ai immédiatement reconnu.
Cet endroit je l’avais déjà visité au par avant, mais sans jamais l’avoir vu en image et sans jamais y avoir mis les pieds. En fait c’est simple je l’avais visité dans un rêve. Bon cet endroit n’a rien d’extraordinaire, mais il fallait que j’aille voir si la réalité correspondait à ce que j’avais déjà vu au par avant.
De l’extérieur en tout cas ça ressemble comme deux goutes d’eau à ce que j’avais déjà pu voir.
Même sur le coté il y avait une grue sur laquelle nous étions montés dans le rêve. Bon dans la réalité nous n’y avons pas grimpé, car vraiment trop inintéressant. Mais dans ma tête l’avions escaladés et ça avait mal fini, même si je ne sais plus en quoi ça avait mal terminé.
Pour finir je me souviens qu’à l’intérieur du bâtiment il y avait encore des restes de grosses machines. Cependant aujourd’hui il n’y a plus rien. Plus que quelques socles en béton sur lesquelles reposaient vraisemblablement ces grosses machines que j’avais pu voir au par avant.
Voilà, c’était pour ajouter encore une petite touche aux nombreuses petites anecdotes que comporte ce voyage.
Le weekend du 10 novembre, avec Flavia, Gaby et Nina, nous sommes parti réaliser une petite expédition en nature dans les Vosges du nord.
Voici le petit récit de cette aventure.
Samedi matin, nous sommes partis tous ensemble de chez moi en direction Vosges du Nord dans l’idée d’aller réaliser cette petite expédition.
Le temps de manger un bout, et d’arriver, il était 14h quand nous avons débuté notre aventure.
Sac sur le dos, nous avancions sous la pluie qui allait nous accompagner toute la journée.
Cela dit, nous n’allions pas nous laisser ruiner la journée par cette petite pluie.
Les paysages que nous allions découvrir, compensait largement le mauvais temps.
Nous n’avancions pas bien vite, mais on va dire que c’était à cause de nos gros sacs, qui nous empêchaient de courir.
Après bien 3h de marche, alors que la nuit commençait à tomber, nous arrivions à notre première étape.
Le château du Petit-Arnsberg. Ici nous avons réalisé une pause un peu plus longue afin de se reposer un peu.
Et nous avions découvert que nous n’étions pas les seuls à avoir eu l’idée d’aller camper dans les châteaux en ruines de la région.
Juste avant d’arriver à la bâtisse, nous sommes tombés sur une personne qui était en train de réaliser sa récolte de bois. Puis en montant les marches qui menaient au sommet de l’édifice, un autre petit groupe, était en train de se préparer à manger sur un petit réchaud à gaz.
Ceux-ci nous ont informé que le château suivant n’était plus très loin. Comme il s’agissait de notre destination finale pour cette journée, malgré la tombée de la nuit, nous décidions de continuer comme prévu et de nous y rendre.
Une fois sur place, au château du Wasigenstein, il faisait nuit. Heureusement nous avions nos lampes frontales.
Nous sommes entrés par la première entrée du château que nous avions trouvée. Une fois au sommet, nous y avions trouvé un endroit sympa à l’abris de la pluie, où nous décidions de passer la nuit.
Cependant, à cause de deux grandes ouvertures il y avait quant même pas mal de vent. Du coup, nous avons tendu une bâche afin d’en fermer une des deux et d’avoir un abris un peu plus confortable. Mais malheureusement cela n’aura pas tenu longtemps. Une grosse rafale de vent aura très vite déchiré la bâche tendue.
Ensuite, nous avons été chercher du bois pour faire notre feu de camp et se réchauffer un peu. Comment dire que nous ne nous étions pas mis au meilleur endroit pour allumer celui-ci. On l’avait fait à peu près au milieu de la pièce pensant pouvoir bien se chauffer. Mais le vent n’a pas arrêté de changer de direction, du coup nous tournions constamment en rond pour ne pas être dans la fumée.
Au moment de se coucher, nous avions monté la tente, toujours dans la même petite pièce. A même le sol, sur le rocher bien dur. La première partie de la nuit on aura eu beaucoup de mal à dormir. Et en fermant les yeux, j’étais en pleur durant 10 minutes, tellement que j’avais bouffé de la fumée. Mais finalement on aura quand même dormi jusqu’à 9h. Malgré les bosses dans le dos suite à notre matelas un peu trop dur.
Au matin, c’est la vue qui nous attendait à notre réveil.
Pour ma part, j’ai continué l’exploration du château.
En se faisant, j’ai découvert une autre partie qui aurait été tellement meilleure pour y passer la nuit. Nous aurions pu faire un bon petit feu, sans être étouffé. De plus il y avait une belle grande pièce à l’abris du vent et de la lumière avec le sol parsemé de sable. Nous y aurions passé une si bonne nuit si nous l’avions découvert la veille. Mais bon la nuit et la fatigue ne nous y avaient pas motivé.
Après cette petite visite, le petit groupe n’ayant plus vraiment envie de trop se balader et ayant un peu mal partout, on à préféré rentrer au plus tôt à la maison.
Heureusement, le dimanche, on avait un superbe temps. Dommage que nous ne l’avions pas eu la veille.
Une fois dans la voiture, sur le chemin du retour la grande forme de certains se fit sentir.
Nous sommes arrivés à la maison à 14h. Quel bonheur de passer sous la douche après une telle aventure sous la pluie et à travers la fumée du feu.
C’est ainsi que c’est terminé cette petite aventure, qui pour ma part est vraiment à refaire, mais peut-être pas en hiver.
Niveau chiffres, le samedi nous avons marché 9,5km en 4h et le dimanche, un peu moins, 4km en 1h30.
Bon sur ce, qui est partant pour venir réaliser la petite expédition avec nous la prochaine fois?
Ce weekend, nous sommes allés nous balader avec Anthony Eschbour, Nina et sa petite soeur, au fort abandonné de Plappeville.
Nous y allions dans l’objectif de visiter le fort, mais aussi et surtout d’y prendre des photos. C’était la première fois que nous visitions ce fort. Il est vraiment en super état et bien vaste. De plus il y a plusieurs galeries souterraines qui permettent de voyager d’un bout à l’autre du fort et aussi de tirer sur chaque petit segment du fossé qui l’entoure.
Bon finalement nous n’avons pas fait autant de photo que nous l’espérions, car bon chaque pièce se ressemble et du coup cela n’inspire pas beaucoup. Mais nous étions tout de même content de notre visite.
Même si la vraie guerre est finie, il faut tout de même rester vigilant. Les balles continues de filer.
A notre arrivée, la première chose que nous avons entendu en plantant au milieu de la cour fut les mots « civile sur terrain ». Décidément nous n’étions pas seul. Une bonne quinzaine de personnes nous encerclèrent. Nous étions tombés au milieu de leur partie d’airsoft. Rien d’officiel, ils avaient juste choisi ce qui doit être probablement le meilleur terrain du monde pour ce jeu.
Même si nous n’étions pas toujours fort rassuré de tomber sur eux dans les couloirs et de se ramasser des billes alors que nous n’avions pas de protections, ce fut tout de même une sympathique visite. Les joueurs faisaient vraiment fort attention à nous et s’avertissaient entre eux pour mettre leur jeu en pause à chaque fois que nous étions à côté. Même si les chances sont minimes qu’ils lisent ces lignes, merci de ne pas nous avoir pris pour cible 😉.
Le weekend du 4 août, Nina et moi étions allés aux terres rouges afin de réaliser un petit photo shooting. Nina ayant une grande envie de prendre la pose, il fallait bien la satisfaire. 😜
Cette petite excursion nous aura donné bon nombre de photos.
Cette petite excursion nous aura également permis de faire connaissance d’un autre petit groupe d’explorateur avec lesquels nous avons rapidement échangé des lieux et a qui j’ai donné mes coordonnées afin de pouvoir rester en contact. Bon deux semaines plus tard j’attends toujours de leur nouvelles, mais au moins nous aurons eu un endroit supplémentaire à aller visiter.
Sur ce le weekend suivant. Le samedi 11 août, nous sommes donc allés au dénommé Bureau Englemann.
On ne sais pas bien de quoi il s’agissait, mais à lire les quelques documents trouvés sur place, il s’agissait des bureaux d’une ancienne usine. Probablement que c’était à l’origine annexé à l’usine qui se trouve juste à coté avant d’être laissé à l’abandon.
Après cela, nous étions encore fort motivé. Sur ce nous sommes donc retournés à l’ancien hôtel abandonné que nous avions visité quelques semaines plus tôt. Sauf que cette fois-ci nous étions équipé de l’appareil photo.
Si je vous montre cette photo-ci je suis certain que le lieux vous parlera…
Finalement la nuit commença à tomber. Comme nous avions un peu faim et que nous n’étions plus qu’à un quart d’heure de la Belgique, nous avons fait le petit détour histoire de manger une bonne frite.
Puis la nuit étant tombée et Nina ayant retrouvée ses envie de poser, nous sommes donc allés nous balader la nuit avec quelques bougies.
Le dimanche soir en revenant d’avoir été acheter des chaussures et un nouveau chapeau avec Nina, nous sommes tombés sur un hôtel à l’abandon. Évidemment, nous n’avons pas pu nous en empêcher, nous y sommes allés faire une petite visite.
Pas grand chose à raconter mais par contre je voulais surtout partager les trois photos que j’y ai pris. Ce sont vraiment pour ma part les meilleures que j’ai pu réaliser en des lieux abandonnés.
Ce lundi comme c’était férié, il fallait bien en profiter.
Sur ce Julian, Nina et moi, sommes partis en expédition URBEX.
A la base nous voulions aller voir une mine de fer pas trop loin de chez nous, mais comme nous avions la journée à notre merci, il valait mieux en profiter et aller plus loin.
Sur ce nous sommes allés dans la région de Liège.
La première destination était une ancienne sidérurgie. Il nous a fallu un bon moment avant de trouver une entrée exploitable. Puis une fois entré la seul chose que nous avons été voir fut un grand hangars.
Nous nous en sommes limité à cela, car au moment de continuer notre déambulation, nous avions aperçu au loin une personne seul qui ne pouvait très probablement qu’être un garde et sur ce nous avons donc rebroussé chemin.
Devant cet échec nous avons continué en direction d’un site qui devait être sympathique, mais qui n’en valait plus trop la peine du fait qu’il a été entièrement réaménagé en terrain d’air-soft. Dommage car a en voir quelques photos avant son réaménagement cela semblait intéressant.
Puis pour remédier à cette journée d’échec on est retourné sur un site que j’avais déjà visité au par avant et que je voulais faire découvrir aux autres. Je ne vous explique même pas l’étonnement que j’ai eu en redécouvrant ce lieu. Les images parlent d’elle-même…
J’en ai fait le comparatif avant-après à chaque fois. La différence est flagrante. Sachant qu’il n’y a que 2 ans d’écart entre les deux.
Et la première fois que j’y avais été, cela faisait déjà 2 ans que le bâtiment était à l’abandon. Sauf que la première fois on avait hésité à entrer dedans se demandant s’il était bel et bien abandonné, alors que maintenant, plus aucun doute là dessus.
Rien que la cuisine ou tout le matériel aurait pu être réutilisé dans un autre endroit… C’était déjà étonnant qu’ils y ait laissé autant de matériel. Mais maintenant il n’y a plus grand chose à récupérer.
L’échelle qui permettait d’accéder au clocher et d’avoir une vue sur toute la vallée. Maintenant je n’ose plus la gravir.
Le plus parlant pour la fin. Rien que voir cela en arrivant, on a déjà tout compris.
Je vous laisse jouer au jeu des « 1001 différences ».
Après ce lieu, nous sommes donc rentrés en se promettant que très prochainement nous irions visiter cette mine près de chez nous. Donc s’il y a des amateurs parmi vous n’hésitez pas à vous manifester.
Sachez que si tous les moments URBEX vous intéressent, il y a une catégorie dédiée sur ce blog, mais j’ai également une rubrique sur mon site qui détail un peu plus les visites. Cette rubrique est un peu moins à la page, mais je vais l’actualiser sous peu.
Dernièrement j’étais à Liège pour un petit tournage avec Michaël pour la chaîne du Liégeois curieux et il faut dire que nous avions bien choisi notre jour…
Il s’agissait de réaliser un reportage sur le paranormal. Donc nous avions choisi un endroit assez sympa dans le parc des oblats à Liège afin de réaliser cela. Le lieu s’y prête bien avec tous ses bâtiments abandonnés dans tous les sens, l’idéal pour obtenir la bonne ambiance de vidéo.
Mais nous n’étions pas à bout de nos surprises. Pour bien faire, nous avions décidé de filmer la nuit. Histoire de créer une ambiance, on voulait éclairer le tout avec des spots, amener de la fumée et projeter des images. Sauf qu’en manque d’un générateur, il fallait déjà supprimer tout ce qui n’était pas lumière. Puis finalement à cause d’une barrière qui a été fermée, ben la lumière aussi à du être abandonnée, car la rallonge pour aller de la voiture (qui servait d’alimentation) au lieu de tournage n’était pas suffisante.
Bon finalement nous aurons su quand même apporter une belle ambiance avec les deux petits spots à piles que nous avions et les deux bougies. Mais il aurait été trop facile que cela s’arrête là…
En arrivant sur les lieux, nous avions repéré des gens qui faisaient la fête dans les bâtiments abandonnés. Quelque temps plus tard, des sirènes commençaient à se faire entendre. Des policiers qui venaient nous dire que nous n’avions pas raison d’être dans ce parc en pleine nuit? Pas de raison, malgré qu’il y ait plein de bâtiments abandonnés et qu’il puisse être dangereux de s’y aventurer, il s’agit la probablement l’un des seuls lieux, 100% ouvert au publique et sans heures de fermeture. Les sirènes s’approchèrent et deux jeunes sortirent des bâtiments pour venir à leur rencontre. Une ambulance.
Tout ce que nous avons compris de ce que les jeunes ont raconté, c’était une histoire de grille. Un blessé suite au passage d’une grille ou bien était-il coincé dans celle-ci? Aucune idée. En un rien de temps, les jeunes étaient partis avec les secours pour leur indiquer le chemin. Quelques instants plus tard, le SAMU est arrivé, mais personne de présent pour les accueillir, étant témoin des rapides évènements, nous les avons indiqués la direction prise par les prédécesseurs.
Bon, les bruits se sont un peu calmés, donc nous avions décidé de continuer notre préparation pour notre vidéo juste après quoi une nouvelle sirène. La police. Je m’attendais déjà à une petite remarque sur notre présence, surtout qu’ils voyaient que nous étions bien chargés avec tout le matériel vidéo, mais rien. Nous leur avons juste à nouveau indiqué la direction à suivre pour rejoindre les autres et voilà.
Que fut notre surprise au moment où deux camions de pompiers se sont ramenés… Il est vrai que les fêtards avaient fait un petit feu. Mais nul ne laissait présumer à une perte de contrôle. Une chose est certaine, ça en fait du monde en déplacement pour un incident. J’espère pour la personne en détresse qu’elle est bien assurée…
Suite à ça, malgré notre installation de mise en scène terminée il nous aura fallu attendre un bon moment avant que tout le monde ait disparu. Malheureusement une fois cela fait, il restait encore un groupe de personne très bruyantes dans le parc et une fois ceux là enfin partis, une dernière des plus louches est venue nous trouver accompagnés de son chien après avoir traversé toutes les broussailles. Ce dernier avait l’air très énervé, vêtu en militaire, il nous parlait d’un ton sévère à demander à savoir ce qui s’était passé, d’où provenaient toute cette agitation et ce que nous faisions là. Ensuite il est reparti à travers la brousse comme si de rien n’était. Vraiment très étrange. Probablement l’un des très nombreux clochards qui logent dans ce parc.
Après sa visite, nous avons attendu encore un petit peu afin de nous assurer que plus aucun bruit ne viendrait nous déranger, puis nous avons commencé à filmer.
Nous ne pensions pas finir si tard avec ce tournage, mais une fois fini il était 1h du matin. Le temps de rentrer et de nous mettre au lit, il devait être 2h. Nous ne nous attendions vraiment pas à autant de difficultés pour réaliser juste cette petite vidéo.
Le lendemain, nous sommes retournés sur les lieux, car nous comptions visiter des sous-terrains. Mais avant ça nous étions allés vite fait jeter un coup d’oeil aux bâtiments abandonnés. Une grande partie des herbes sèches se trouvant dans la cour intérieure avaient été brûlées. Puis devant le site, se trouve une grande grille. Pour faire simple, on va dire qu’elle est décorative, mais on aime passer par dessus, car elle prête de raccourcis. Deux énormes pierres en facilitaient le passage des deux côtés. Celles-ci ont été déplacées et une barrière a été érigée.
De plus par rapport aux sous-terrains que nous avions repérés deux semaines au par avant et que nous venions visiter, il y avait deux entrées qui donnaient sur des galeries bien distinctes. Cependant, l’une d’entre elles (probablement la plus intéressante des deux) venait d’avoir été murée. Je doute que cela était dû aux évènements de la veille, mais cela nous aura quand même un peu embêté.
Une vraie aventure ce tournage. Certainement pas le plus facile que nous avons réalisés jusqu’à présent.
Le samedi d’il y a deux semaines, je suis allé avec Nina et Jason visiter une centrale électrique abandonnée avec une tour de refroidissement comme celle des centrales nucléaires. Voici le tout en image…
Après un réveil bien tôt et deux heure de trajet, nous arrivons en fin sur les lieux de notre visite. Pas difficile à trouver, la petite tourelle se voit de loin et assez facilement.
Un petit tour d’horizon et en un rien de temps, nous nous introduisons au centre de notre petite tour.
Au milieu, un mélange de boue et d’eau nous jonche les pieds. On s’amuse à sauter sur des palettes et des pneus qui trainent un peu partout afin d’avancer sans trop nous salir.
Ici dans ce trou, nous rencontrons une personne avec qui nous faisons un peu causette et qui nous décrit les lieux comme étant un vrai lieu touristique. Il n’avait pas tort du tout. Je n’ai jamais vu autant de monde dans un lieu abandonné. En même temps ce n’est pas étonnant, sachant que le lieu est cartographié comme étant un point de vue sur internet.
Mais une fois ici, on n’a qu’une envie c’est de monter plus haut. Pour monter, nous trouvons un petit endroit qui nous servira d’échelle improvisée.
Comme vous pouvez le voir sur la droite de l’image, il y avait avant des bâtons de bois. Probablement pour que l’eau en vapeur puisse condenser dessus.
Puis tout cela escaladé, nous arrivons enfin en haut.
C’est bien particulier la vue qu’on a d’ici.
Et la hauteur de la tour est très impressionnante.
Après la visite de la tour de refroidissement, nous partons manger un bout avant d’entamer la visite de l’usine en soi.
On tournera longtemps pour trouver une entrée. Puis nous tombons sur un autre groupe qui nous indique comment ils ont fait pour entrer et nous suivrons leurs indications.
L’intérieur est particulièrement poussiéreux. C’est le plus poussiéreux que j’ai visité jusqu’à présent.
Le rez-de-chaussée étant facilement accessible, a complètement été vidé de ses machines. Le reste du bâtiment continent encre toutes ses machines dont on ne devine pas bien l’utilité.
La seule chose où l’on devine de quoi il s’agit, c’est la machine qui est une turbine. En l’occurrence celle qu’on voit sur cette image a été ouverte pour réparation.
À coté de l’usine, on à un bâtiment administratif, où sur l’un des étages il y a des vestiaires, un petit peut délabrés…
Après cette bonne petite journée bien fatigante à visiter ces lieux, nous sommes retournés sur notre calèche afin de rentrer chez nous.
Par contre pour ma part, étant bien crevé, ma journée n’était pas encore finie. J’avais encore un petit babysitting pour terminer en beauté.
Aujourd’hui, c’était journée retour au château de Noisy. J’avais vraiment envie de montrer ce château à Nina et donc nous sommes partis à 10h au matin pour aller lui montrer ce lieu.
Ça nous aura bien plu et pour ma part j’ai découvert encore d’autres petits recoins que je n’avais pas vus la première fois. Surtout une petite salle vraiment sublime et magique, mais vous ne la verrez pas en photo, car cela n’aurait rien donné et puis comme ça cela vous donne une raison d’y aller par vous-même.
D’ailleurs, j’en ai profité pour refaire quelques petites photos en plus que voici.
Celle-ci sous la toiture effondrée.
Et pour fini cette petite photo dans cette magnifique pièce très naturelle.
Après ça, plus ou moins sur le chemin du retour, en traversant un petit village perdu au milieu de nulle part, on voit arriver le marchant de glace. Un vrai moment de magie, comme s’il nous avait attendus là toute la journée. Un petit signe, on se gare tous les deux et puis miam la petite glace. 😃 En plus, elle était excellente, peut-être même mieux que le glacier en ville (pour ceux qui le connaissent bien).
Pour finir, retour à la maison et voilà…
Comme toujours vous trouverez d’autres photos et les anciennes de ce lieu sur mon compte Flickr.
