Une semaine forte en musique

La semaine passée, comme tous les ans depuis 6 ans, je suis retournée à la soirée des étoiles.

Cette année mon rôle y était à nouveau de filmer l’évènement. Pour ce faire, j’avais pris congé jeudi et vendredi, et j’en suis bien content. C’est toujours un réel plaisir de s’y rendre et de participer un peu à l’évènement. Et comme tous les ans on y voit la progression.

Bon maintenant un gros travail de montage vidéo m’attends. Après tout il y a quand même un 51h cumulées de média à traiter. J’en aurai pour quelques soirées d’occupation. Mais déjà maintenant, vive l’année prochaine pour remettre cela.

Puis après le spectacle de vendredi et samedi soir, papa nous avait invité à aller voir le concert de Aloïse Sauvage aux Aralunaires le dimanche soir. Et ici encore le spectacle fut à son comble.

Bon maintenant, au bureau par contre il fait un peu trop calme. Peut-être qu’on devrait y mettre la musique à fond pour changer… Ça pourrait y mettre un peu d’ambiance.

Nous avons failli y rester…

Il y a deux semaines avec Nina, nous avons réalisés un petit voyage en Suisse. C’était vraiment un voyage super. Avec de magnifiques paysages et de belles balades à réaliser un peu partout dans le pays. Je montrerai quelques images un peu plus tard. Pour commencer je vais vous raconter l’aventure du dernier jour tant que je m’en rappelle encore bien.

Mercredi 10 avril à 10h, nous venons de passer la nuit en bord d’une route peu fréquentée dans la voiture au pied de la balade que nous avions prévus pour la journée. Bien que la route soit déneigée, nous savons que notre balade ne le sera pas. Et de fait, à peine nous quittons le petit village perdu au milieu de nulle part, le niveau de la neige augmente très vite sous nos pas. Et nous débutons rapidement une ascension de 200m de dénivelée. Pour bien se mettre dans le bain.

Dans l’idée notre balade doit nous mener à un grand pond de corde qui à été dressé entre deux montagnes pratiquement au sommet. Nous avions un total de 1000m de dénivelée à gravir et très vite notre plan de départ allait changer. Avant même l’arrivée au bout de nos 200 premiers mètres de grimpe, nous sentions que la balade allait être rude. J’avais déjà demandé à Nina si nous étions certain de vouloir continuer ou s’il ne valait pas mieux faire demi-tour. Mais bien trop motivé à voir ce pont qui certainement allait être magnifique, surtout dans ce paysage enneigé, nous décidions de continuer notre balade.

Les raquettes au pied, nous arrivions au sommet de notre première montée, déjà bien content d’arriver. Ici il y avait un petit banc abrité sous le toit d’un chalet, et nous y faisions notre première pause de la journée. D’ici un peu par délire je publie la publication précédente qui vous demande à nous aider à trouver notre chemin. En fait nous sommes en train de suivre un GR (marquage de grande randonnée), cependant celui-ci n’étant pas destiné à être pratiqué en hiver, pratiquement tous les marquages sont enfuis sous la neige. Du coup la major partie du temps il est difficile de voir le tracé que nous devrions suivre. Cependant avec un petit GPS de randonnée et le téléphone, nous vérifions régulièrement par où passe notre itinéraire et nous corrigions du coup notre position.

Après un bon moment de marche notre chemin commençait à doucement se rétrécir et a devenir un peu plus simple car nous étions en train de débuter une petite descente.

Dans cette descente à un moment nous avons entendu aussi fort que jamais 2-3 détonations. Autant dire que quand on entend ce genre de bruit, on n’est pas tout a fait à l’aise. Déjà Nina qui ne savait pas ce que c’était n’était pas trop rassurée, mais moi non plus… Ils venaient de déclencher des avalanches quelque part dans la montagne. Et on n’était pas loin du lieu en question car je n’ai jamais entendu de détonation si importante. Mais nous n’avions pas entendu l’alarme qu’ils sont sensés faire sonner avant le déclenchement, donc je suppose que nous n’étions pas si proche que cela et qu’il s’agissait que de l’écho.

Après ce petit épisode des moins rassurant, nous continuions notre chemin. Nous ne le savions pas encore, mais encore quelques pas et la vrai aventure allait commencer. Peu de temps après cet épisode nous sommes arrivés sur les coulées de neige. C’est ici que l’aventure allait se corser. Traverser une coulée ça n’est pas si simple que ça. Déjà la pente est assez importante. Puis il n’y a pratiquement pas de prises. Finalement si on venait à glisser ici, on se retrouverait très certainement sur un toboggan à ne pas vraiment s’avoir s’arrêter. Dans le meilleur des cas après le toboggan il suffirait d’escalader ce qu’on venait de descendre, dans le pire des cas le toboggan finissait par un joli saut de falaise. Bref, il valait mieux ne pas trop s’attarder sur où mène le toboggan et plutôt le traverser sans trop glisser. Plus facile à dire qu’à faire…

La traversée des coulées de neige est une vrai torture sacrément épuisante. Surtout si en plus de cela, le chemin est en ascension à travers celles-ci. Par moment pour plus de sécurité, nous avons escaladé les coulées histoires d’avoir des pierres et plantes auxquelles s’agripper. Après il fallait redescendre ce qu’on avait escaladé pour revenir sur le vrai chemin. A chaque fois qu’on venait de traverser une coulée, on espérait que c’était la dernière, car nous n’en pouvions plus. Puis au bout de la troisième, on se posait la question de savoir s’il valait mieux se tuer à rebrousser chemin et revivre la torture que nous venions de vivre ou s’il valait mieux continuer et espérer que le chemin allait devenir plus simple.

Nous avions à regret à chaque fois décidé de continuer. Faire marche arrière n’était pas simplet et nous avions bonne espérance d’arriver à fin de ses coulées. Même si la fin mit beaucoup de temps à arriver.

Pour l’info voici une partie de ce que nous venions de traverser dans ces 5 derniers chapitres. C’est ici que la question de ma publication précédente prend tout son sens: « Avez-vous vu le chemin? ».

Arrivé dans notre dernière coulée de ce versant, nous avons vu au loin un hélicoptère arriver. Il semblait doucement suivre le tracé que nous venions de réaliser et semblait chercher quelqu’un. Puis il arriva à notre hauteur et finit par y stationner un moment avant de faire demi-tour et de rentrer. Nous ne savions pas pourquoi il était venu, c’était assez étrange qu’il ait fait demi-tour une fois qu’il nous ait vu. Pour notre part, nous ne lui avions pas trop prêté attention, pas qu’il soit à la recherche de quelqu’un en danger et qu’il vienne nous secourir nous. Bien qu’au point où on en était ça nous aurait pas dérangé. Puis à y réfléchir par après, c’est certain qu’il était venu pour nous. Dans le petit village où nous nous étions garés tout le monde se connait. Une voiture étrangère garée en bord de route depuis plus de 12h ça se remarque. Je suis certain que ce sont les villageois qui nous ont par prévention envoyé les secours. Mais bon, comme on n’en était pas informé, on ne pouvait pas savoir et donc malgré notre envie, nous devions continuer.

Peu de temps après, nous décidions qu’il était temps de faire à nouveau une pause un peu plus conséquente. Du coup nous avons mis à chauffer notre petite soupe que nous avions amenée. Ça n’était pas grand chose, mais malgré tout ça nous aura fait du bien.

Ensuite il nous fallait faire un choix. Notre itinéraire normalement faisait une boucle pour contourner un petit lac artificiel en contrebas. Nous avions donc le choix, de suivre cet itinéraire ou alors de couper au plus court en descendant au barrage puis en remontant de l’autre côté. Nous savions que remonter de l’autre côté allait être fatiguant, mais contourner le lac comme le prévoit le chemin, ne nous donnait vraiment pas envie.

Remonté de l’autre coté, il était 16h30, nous étions arrivés à une station télécabine. Celle-ci n’est ouverte qu’en été, à partir de juin, mais près de l’entrée il y avait un grand panneau bleu indiquant un téléphone SOS. Au stade où nous étions, j’ai dit à Nina de m’attendre en bas des nombreuses marches enneigées et je suis allé voir si ce téléphone pourrait nous être utile. Arrivé au panneau, j’ai un peu cherché après le téléphone en question. Au bout d’un instant je le découvrit dans une petite véranda qui sers de casse pour l’accès au télécabine. La porte d’entrée n’as pas de verrou, logique puisque le téléphone de secours est à l’intérieur. Je tente donc d’entrer et là étrangement la clenche ne s’abaisse pas. Le personnel de la station n’ayant pas envie d’être appelé au secours avait bloqué la clenche de l’intérieur avec un bout de bois. C’est vraiment criminel de leur part de bloquer ainsi l’accès à un appel au secours. Mais l’espoir d’y accéder n’était pas encore tout à fait perdu. De l’autre côté de la verrière, je vit une autre porte d’entrée, celle-ci avait un verrou, mais avec un peu de chance il serait ouvert. J’enjambe donc la rambarde pour tenter d’accéder à l’autre entrée. Puis là, je vois, sur un bois, mis un peu à l’arrache, un système d’alarme pointé sur l’extérieur. Ils ont vraiment tout prévu pour ne pas se faire embêter. Sur ce je compris que ça ne valait pas la peine d’atteindre le téléphone, ils ne viendraient quand même pas. Je suis donc redescendu auprès de Nina et nous avons repris notre balade.

A partir d’ici il ne nous restait plus que 3 coulées à traverser. Nous l’avions vu depuis l’autre versant et cela nous remontait le morale de savoir que cette torture allait bientôt se terminer. Mais nous n’étions pas à bout de nos surprises.

A un moment un peu plus paisible de notre balade, nous avons vu de l’autre coté, dans l’une des coulées où nous étions passé au matin, un joli éboulement. Nous étions bien content de ne plus être à cet endroit pour le coup.

Plus loin, nous sommes arrivés sur un gros panneau attention qui nous donnait l’instruction de ne pas trop s’attarder dans la coulée suivante. Ce panneau était destiné aux randonneurs d’été, donc pour les randonneurs d’hiver autant dire qu’il était conseillé de faire demi-tour…? Bref, pas le choix, nous devions continuer. On s’avance doucement en direction de la fameuse coulée et puis là sur le chemin plein de neige, je glisse. J’essaye de m’attraper à tout ce que je trouve. Tout cède. Je poursuis ma chute et je tombe du bord de falaise qui menait à la coulée. Dans ma chute je sens mon pied s’accrocher à la parois, heureusement il ne tiens pas longtemps. Puis finalement ma chute se termine bien 5m plus bas, dans la coulée que nous nous apprêtions à traverser. Je suis à quatre pattes dans la neige. Doucement en train de réaliser que je suis encore vivant. Nina est 5m plus haut complètement paniquée et dépourvue. Mes raquettes sont complètement détachées et arrachées. Je commence doucement à bouger mes membres un par un en m’attendant à ce que l’un deux me fasse bien mal, mais rien. Je n’ai rien. Je n’en reviens pas, je suis tombés de si haut et mise à part quelques petites égratignures au mains je suis complètement indemne. Sur ce je préviens Nina que je vais bien et je l’invite à continuer le chemin jusqu’à la coulée que nous devions encore traverser.

Sur ce Nina avance aussi doucement que jamais sur ce chemin duquel je venais de chuter, pour rejoindre la coulée. Une fois qu’elle y est parvenue, je commence à la gravir pour la rejoindre. Nous enlevons tous les deux nos raquettes histoire de s’enfoncer au maximum dans la neige et d’éviter de glisser. Puis nous avançons doucement jusqu’à l’autre rive. Ici Nina fond en larme, ne sachant plus contenir toutes ses émotions fortes que soulève cette balade. Une fois remis de nos émotions après cette rude traversée, nous reprenons notre itinéraire en nous réjouissant que ça soit bientôt fini et que ça devrait ne plus pouvoir empirer.

Mais en montagne, il ne faut pas se réjouir trop tôt. Après quelques pas facile arrivait la dernière montée de cette balade. Il nous restait 50m de dénivelée à gravir avant de enfin pouvoir entamer notre descente jusqu’à la voiture. Complètement à bout d’énergie, nous faisions trois pas puis une pause avant de refaire trois pas. Nous n’en pouvions plus. Cette montée était interminable. Comme si cela ne suffisait pas, le chemin sur lequel nous étions commençait à se rétrécir. Au bout d’un cour instant il ne faisait plus qu’un demi-mètre de large. Sur notre gauche, une falaise. Le moindre faux pas allait nous couter la vie et pour de bon cette fois-ci. Devant nous un petit pont fait de rondins de bois avec une balustrade très rudimentaire qui n’empêchait pas de passer par dessous. A droite, par moment un bout de corde pour se tenir autrement des branches. Sous nos pieds, de la neige, encore et toujours, incliné à au moins 45° en direction falaise. Nous avions 20m à traverser ainsi au bord le la falaise. Nous faisions un pas après l’autre. Bien minutieusement. En nous tenant à chaque branche qui nous était accessible quand il n’y avait pas de corde et nous avancions doucement.

Un long moment plus tard, nous venions de franchir cette nouvelle étape. Ça y est, encore quelques mètres de plat puis enfin, nous allons entamer notre descente. A ce moment il est 20h. Le soleil se couche. Nous devons nous dépêcher. En descendant, nous ne cessions pas de tomber dans la neige à force de perdre l’équilibre et aussi sous l’effet de la fatigue. A un moment Nina perd sa raquette, elle s’enfonce dans la neige, perd l’équilibre, tombe en avant mais sur le dos et se tord le genou au passage. Elle ne sais plus se relever. J’accours pour l’aider à se redresser. Heureusement elle sais encore marcher, mais pas terrible quand même.

A là moitié de la descente, il fait pratiquement nuit. Deux options se présentent à nous: ou bien nous prenons à droit et nous serons bientôt sur une route, qui potentiellement, comme toutes les routes du pays pourrait être déneigée et nous guider facilement vers la fin, mais cela ajouterai un gros morceau à notre balade. Ou alors la deuxième option que nous choisirons: rester sur notre itinéraire de départ et nous dépêcher tant qu’on y vois encore un peu. Heureusement peu de temps après alors qu’il commence à vraiment faire trop sombre pour y voir, nous tombons sur des traces de pas de locaux qui étaient venus balader leur chien dans la journée. Nous suivons ces traces de pas aveuglément jusqu’à la route. Sauvé! Enfin nous étions sorti de la neige. Il ne nous reste plus qu’à regagner la voiture et le tour sera joué.

Nous arrivons à la voiture, il est 22h. Cela fait 12h que nous l’avions quitté. Nous n’aurions jamais pensé que notre balade serait si rude, dangereuse et si longue. En temps normal, en été, elle est faisable en 4h.

Nous allumons le moteur. Nous changeons de vêtements. Nous cherchons le Burger King le plus proche. Nous réalisons 1h de route le chauffage à fond pour y accéder. Ce n’est qu’en arrivant qu’on est enfin réchauffé. Au resto, nous reprenons des forces et remplissons notre estomac, bien vide. Puis nous roulons encore 10min jusqu’à un endroit pour dormir et puis…

Ah pardon, je m’étais endormi.

Le lendemain matin, Nina peine à marcher. Nous avions visités tous nos points d’intérêt qui se trouvaient dans le nord (la région sans neige). Les seuls points qu’on voulait encore voir étaient tous dans le sud sous la neige. A partir de ce moment là, nous avons décidé que nous n’allions pas retenter de nous balader dans la neige de si tôt. Du coup nous avons doucement repris la route en direction de la maison. C’était plus sûr.

Malgré cette mésaventure du dernier jour, ce fût quand même un super voyage. J’enverrai quelques photos prochainement, c’est promis. Et je parlerai d’endroits un peu moins dangereux.

Noyé dans un désert de lumière

Comme certains d’entre vous le savez déjà, je suis actuellement au ski dans le domaine des Contamines en France.

Et aujourd’hui j’ai eu une expérience un peu particulière en skiant…

L’après-midi, j’étais parti skier seul. J’ai pris un remonte pente qui allait assez haut et puis une fois en haut je m’aventure sur une piste où personne n’y était. Et peu de temps après j’apprendrai pourquoi personne ne s’y trouve.

En un rien de temps je suis tellement envahi par le brouillard que je ne vois plus rien du tout. Même les piquets qui indiquent le tracés des pistes sont par moment à peine perceptibles. De plus il fait tellement lumineux que je ne sais pas reconnaitre le relief du sol bien lisse suite à la tombée constante de neige.

A peu de chose près le paysage ressemble à ceci:

Si vous ne voyez rien, cela est bien normal, c’est une image blanche. Et l’absence de vue, de points de repère est vraiment très déroutant. De plus les skis sur la neige ne font pas de bruit dans cette poudreuse. J’avance doucement et prudemment pour ne pas me casser la figure sur une bosse ou sur une pente un peu plus forte qu’il y a par moment. Puis je me demande si j’avance encore. Je regarde le sol… Par moment oui, mais lentement. A d’autres moment je constate que je suis à l’arrêt ou encore je m’aperçois que je suis en train de redescendre en marche arrière la petite bosse qui se trouve devant moi.

Noyé dans toute cette lumière, je ne comprends plus non-plus où est le haut et le bas. Sertes je le sais, car je reconnais encore le sol à mes pieds, mais si je ne devais pas réaliser un effort physique pour me pousser en haut de petites buttes je serai incapable de dire si je monte ou descends.

Il s’agit là d’une sensation vraiment hors du commun, qu’il faut avoir vécu pour bien pouvoir la comprendre. Heureusement que les pistes sont balisées, si non je ne sais pas où je serai atterri.

Mais autrement pour une première journée de ski c’était vraiment bien. Plus bas dans la station on y voyait plus. J’ai trouvé de super pistes et puis des petits hors piste bien sympa a zigzaguer entre les arbres. De quoi bien s’amuser. Et comme il n’arrête pas de neiger, on va avoir une super neige tout le long. Le plus dure, sera surement la fin du séjour, pour déneiger la voiture qui est déjà bien blanche au bout de juste un jour.

Semaine de bricolage

La semaine dernière, nous avons réalisé quelques bricolages.

D’une part il fallait la table de brasserie que j’utilisais comme bureau, du coup comme l’idée me trottait la tête depuis un moment, j’en ai profité pour me construire un nouveau bureau.

A la base j’avais cherché chez les différents vendeurs, mais rien qui convenait ne me plaisait. Sur ce avec Nina, nous sommes allés acheter des planches et l’avons construit de nous même.

Puis le temps de tout mettre en place dans la chambre et de réaménager le bureau et la table de brasserie était libre…

Je suis bien content du résultat. Il fait bien sa place et puis du fait qu’il est plus large que l’ancien il paraît bien plus spacieux.

Plus tard dans la semaine, nous avons construit un cadre pour contenir la carte du monde à gratter que j’ai offert à Nina pour Noël.

Bon un peu fort massif pour un cadre, mais à nouveau le résultat était exactement celui attendu.

Je sais, la photo est de bien mauvaise qualité, mais au moment de la rédaction de cet article je n’avais rien de mieux sous la main.

Nouvelle vidéo Berthe Lutgen

Hello la compagnie, voila un moment qu’il n’y a rien eu sur ce blog…

Désolé pour cela, mais ces derniers temps, il n’y a pas grand chose à raconter.

Enfin, si il y avait quand même quelque chose. Ca y est, je suis allé visiter ma petite usine sidérurgique abandonnée à Seraing que je voulais visiter depuis si longtemps. Mais voila, cette usine est tellement grande que le peux de temps que nous y avons passé n’a pas suffit pour voir grand chose. Donc nous y retournerons et je sortirai un article dédié un peu plus tard.

En attendant, j’ai été dernièrement à nouveau contacté par Berthe Lutgen pour réaliser une nouvelle vidéo de sa dernière exposition. La vidéo étant maintenant terminée et publiée, je vous invite donc à la regarder.

Bon visionnage et à bientôt.

Petit weekend en foret

Le weekend passé, avec Nina nous sommes retournés au même endroit que la dernière fois pour refaire notre balader et soirée camping au milieu de la forêt. Cette fois-ci n’ayant pas la soeur de Nina avec nous c’était plus simple et du coup nous avons donc pu réaliser le tour complet tels qu’il est prévu. La balade fut chouette. De plus a un moment nous sommes tombés sur une petite rivière dans laquelle des gens avaient placés deux casiers avec diverses boissons. A coté une petite tirelire et un mot disant: servez-vous et donner ce que vous voulez. L’idée était bien sympa, de plus cette petite boisson fraiche nous aura bien fait plaisir vu la chaleur qu’il y avait.

Le lendemain après notre balade, nous sommes allés à la piscine, Thermapolis que nous avait conseillé Julien durant le voyage en Irlande.

Puis pour conclure cette journée, nous sommes allés au restaurant Nina et moi. Après tout il s’agissait de son anniversaire, il fallait bien le fêter d’une manière ou d’une autre.

PS: bientôt la publication de mon dernier voyage en Irlande…

C’est parti…

Ça y est, à l’heure qu’il est au moment de la publication de cet article, je viens, si tout s’est bien passé, d’arriver en Irlande.

Avec Nina, Julien et Alex, nous nous apprêtons a faire le tour de l’ile durant les deux semaines à suivre.

Evidemment comme toujours, je m’amuserai à rédiger mon petit article pour à mon retour, donc restez à l’affut pour ne pas le manquer et voyager à votre tour.

Bon ceci aurait été vrai si cette publication était parue le dimanche et pas le samedi. Je me suis trompé de date…

La nous sommes à Lille et nous nous apprêtons à prendre notre première ferry en direction de l’Angleterre…

Chaque jour une histoire

Cette semaine, chaque jour à 5h du matin, je vais publier une petite histoire/aventure.

Pour commencer l’aventure de cette semaine, le vendredi 22-23, c’était la fête nationale au Luxembourg. Avec François, maman et Nina, nous étions allés voir le feu d’artifice en ville. On était parti fort tard, j’étais persuadé que nous n’aurions pas une bonne vue. Fort heureusement, je connaissais le bon endroit pour le voir. Étrangement, contrairement à l’année passée, il n’y avait pratiquement personne qui était arrivé à mon petit repère, tant mieux. Juste le temps de s’allonger sur le gazon, et hop, le feu d’artifice avait commencé au-dessus de nous.

Je me suis un peu amusé à le prendre en photo. Puis au bout d’un moment, j’en avais assez de cliquer le déclencheur de l’appareil. Donc, je lui ai dit de prendre une photo toutes les secondes et puis j’ai fait le tri au retour à la maison… 😉 Cette technique fonctionne bien aussi.

Voici le résultat.

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Pour ceux qui veulent quelques photos en plus, voici le compte Flicker: https://flic.kr/s/aHsmnbD98W

Nouvelle voiture

Bon pas très à jour ces derniers temps avec mes petites annonces. Mais bon voila, c’est ainsi. A partir de maintenant les weekends commencent à reprendre leur rythme normal. Fini les déménagements et petits travaux et go les activités à pouvoir partager.

Bon pour aujourd’hui, je la fais courte, je voulais juste annoncer la venue de ma nouvelle voiture qui est arrivée il y a maintenant deux semaines. Je voulais le faire au travers d’une sympathique vidéo, mais ne trouvant pas trop l’inspiration, n’ayant pas choisi la bonne camera pour le tournage et ne trouvant pas la bonne musique pour accompagner le tout, ben voilà que la vidéo n’est vraiment pas terrible…

Mais voila avec ce petit monstre, les voyages devraient s’avérer facile et confortable. Ça tombe bien, dans deux semaines, c’est le grand test en direction vers l’Irlande…

Et puis ce weekend nous avons déjà repris quelques activités, que je vais partager un peu plus tard dans la semaine, histoire de d’avoir un peu de temps pour traiter les quelques images.

Sur ce, à très bientôt et passez une donne semaine.

J’ai manqué une opportunité de tonnerre

Quel dommage que demain je doive me lever pour aller travailler. Si on avait été vendredi je serai directement sorti. Une opportunité pareille on n’en a pas tous les jours. Depuis que Stephane Léonard m’a donné son petit conseil pour rendre des meilleurs photos du tonnerre (littéralement, ce n’est pas une expression) je n’attends que ce que le bon moment vienne et là c’était le bon.

Une foudre parfaite, fréquente fort lumineuse avec un ciel bien dégagé, pas de brouillard et pas le pluie. Que rêver de mieux pour aller prendre de belles photos d’un orage. Bon j’attendrai la prochaine opportunité en espérant qu’elle ne tombe pas à nouveau en plein dans une semaine de travail.

Au passage si vous vous demandez pourquoi il n’y a plus trop de publications en ce moment sur mon blog, c’est parce que entre les déménagements de mes parents, le montage de la vidéo de la SDE, le travail et les examens de Nina, il ne reste plus beaucoup de temps pour faire des activités et ainsi avoir de quoi raconter. Mais d’ici deux, trois semaines les activités devraient reprendre de plus belle. Et au plus trad dans exactement un mois, premier voyage depuis que j’ai commencé à travailler. Durant deux semaines. Donc j’aurai à nouveau de quoi raconter.

D’ici là, passez un bon moment et profitez bien de ces beaux jours ensoleillés. Et puis à bientôt…

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