Weekend en forêt

Ce weekend, comme il était un peu prolongé suite au jour férié, nous avons décidé de réaliser ce que nous n’avions pas pu faire le weekend passé. C’est a dire passer tout le weekend en forêt.

Nous avons préparés deux gros sacs avec tout ce dont nous aurions besoin, voir même un peu plus juste pour le divertissement et le confort. Car bon on n’avait pas vraiment besoin de la table et des chaises, mais comme dans l’idée Nina devait quand même un peu étudier…

Nous sommes partis vendredi en fin d’après-midi. Avons garé la voiture sur le petit parking en lisière de forêt et puis avons un petit peu marché jusqu’à notre point habituel.

Nous avons érigé notre joli petit campement pour le weekend. Coup du bois pour alimenter notre petit feu. Puis nous étions prêt pour le coucher de soleil.

Le weekend dernier, nous étions déjà venus avec le petit frère et soeur de Nina afin de faire un bon pique-nique. Et nous avions eu l’occasion de pouvoir observer des sangliers. Mais cette fois-ci, mise à part une petite souris, nous n’avons rien vu.

Nous sommes restés assis toute la soirée autours de notre petit feu de camp jusqu’au moment où aller dormir.

Le lendemain, nous avons cuit quelques pâtes sur note cuisinière improvisée avant de passer notre journée à ne pas faire grand chose. Repos, écouter les oiseaux, écrire cet article et lire un livre. C’est à peu près à cela que nous pouvons résumer notre journée. Pas grand chose, mais bien paisible et agréable.

Au soir, un dernier petit feu pour cuire nos dernières saucisses et puis finalement nous avons décidé de remballer plus tôt que prévu. Nous en avions assez de tous les bestioles qui nous rendent visite. Et puis niveau tiques, dès qu’on oublie de s’asperger de produit répulsif on se faisait tout de suite attaquer. Autant dire qu’on en avait assez vu comme ça pour le weekend. Et puis 25 heures passées dans la forêt, ce n’est déjà pas si mal.

Puis la veille en traversant la ville en voiture pour aller dans les différentes institutions d’orientation scolaire, nous avions vu des lampions dans la vallée de la pétrusse, donc nous avions décidé de nous y rendre pour voir ce qui s’y trimbale. Au final, il n’y avait pas grand chose, mais par contre c’était lié au marathon. Et suite à ce dernier, quel horreur pour se déplacer en ville. Voiture, bus ou même à pied. C’était bien compliqué dans tous les cas. Mais bon, la glace était bonne, donc nous étions satisfait de notre dessert et sommes rentrés nous reposer.

Camping en forêt

Salut, les amis,

Vous l’aurez remarqué, j’ai un peu laissé le temps filer depuis ma dernière publication et ce n’est pas sans raison. Ces derniers temps j’étais assez occupé. Sur ce je n’en dis pas plus pour le moment et je vous raconte tout de suite la petite aventure d’il y a deux semaines.

Voilà un bon weekend où il faisait bien beau et du coup il fallait bien qu’on en profite correctement.

Pour le coup on a enfilé note tenue d’été et nous sommes partis faire un chouette petite balade.

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La balade nous a mené à travers la forêt de Schönfels, petit village avec une grosse tour en son centre.

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Puis après cette chouette journée, nous sommes retournés chez Nina, jusqu’à la tombée de la nuit. Ensuite nous sommes allés prendre nos sacs hors de la voiture et nous sommes partis en mini expédition.

Nous sommes allés nous balader jusqu’à un endroit où nous avions construit une petite cabane dans la foret. Ce n’était pas bien loin. A juste 3 km de chez Nina.

Là nous avons érigé un petit feu, sur lequel nous avons fait cuire quelques petites pizzas.

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Après un bon moment autours du feu, nous avons érigé notre tente afin d’y passer la nuit.

Nous y avons vraiment passé une super nuit. En plus toute la nuit il a fait assez bon dehors. Limite on n’aurait pas eu besoin de sac de couchage.

Le lendemain, au petit matin, j’ai rallumé un feu afin de m’occuper à brûles des branches en attendant le réveil de Nina et j’en ai profité pour faire griller des chamallows.

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Puis une fois tous les deux réveillés, nous avons mangé notre petite viennoiserie que nous avions emporté en guise de petit déjeuner, avant de tout remballer et de reprendre le chemin inverse en direction de la maison.

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Voilà comment passer simplement un bon moment le temps d’un bon weekend…

 

Une journée au camp…

À l’origine cette histoire était un simple délire destiné qu’à une seule personne qui en a déjà eu d’autres variantes. Mais finalement, vous pourrez tous la lire et ressentir l’amusement qu’on éprouve à l’école. Il s’agit ici probablement de ma publication la moins amusante de l’année, mais voilà… Ça faisait un moment que je voulais raconter cela, mais il a fallu cette petite histoire pour me donner l’inspiration à trouver comment le raconter. Bonne lecture.

Ça y est, c’est reparti pour une pure journée de folie et de festivités…

Quoi que je crois que je suis en train de me tromper de journée, c’est plutôt parti pour une pure journée de tristesse, froideur et déprime…

Actuellement dans le bus sur la route de la torture, je me demande ce qu’il va bien pouvoir m’arriver aujourd’hui. Le bus de déportation est a l’heure aujourd’hui, c’est déjà bien. Enfin, c’est ce que je crois du moins.

Plus que quelques minutes et je serai arrivé au débarquement. À partir de ce moment une longue route, trois kilomètres m’attendent. Trois kilomètres pour me rendre au camp. Ce fameux camp, tant redouté de tous. Nous ne savons pas ce qu’il nous y attend, mais les rumeurs ne disent rien de bon. Nous prions chacun dans notre solitude que Dieu nous vienne en aide, mais pour le moment il ne nous aura donné aucun signe de vie. Et s’il était déjà passé par le camp avant nous?

Ça y est, nous sommes arrivés au camp. Le trajet était bien long, et plus que glacial. Au camp au moins il fait chaud. Sous la chaleur qui nous accueille en rentrant, ma peau picote. Nous sommes tous rassemblés dans ce qui semble être le réfectoire à attendre que l’on vienne nous accueillir. Le temps est long. Qu’est-ce qui va bien pouvoir nous arriver. Nous sommes impatients de voir le personnel de ces lieux et en même temps, nous redoutons ce moment…

Ça y est, nous sommes appelés à nous rendre dans la salle AE. AE, que peuvent bien signifier ces lettres? Quoi qu’il en soit, nous y voilà.

Nous sommes dans une grande salle avec plein de monde. Personne ne sait ce que nous venons faire ici. Voila qu’un soldat arrive il à l’air très sévère. Il commence à nous raconter des choses, il gesticule dans tous les sens en faisant les allers-retours dans la salle. Il semble tout fier de son introduction à la journée, cela dit, nous ne comprenons pas beaucoup pour quelle raison il nous raconte de telles choses. Après une bonne heure de blabla, voilà qu’il y a deux personnes allongées sur le sol. Qu’est-ce qui se passe? Pourquoi sont-ils tombés? Une personne se trouvant entre les deux corps sans vie vient de tenter de les réveiller. Ils ne réagissent pas du tout.

Le soldat vient de nous quitter un instant pour aller rejoindre ses supérieurs. Probablement une question d’organisation de la journée. Certains en profitent pour prendre la fuite. À partir de ce moment, la question se pose: devrions-nous les imiter et partir?

Finalement, le soldat est de retour parmi nous. Il continue son récit interminable. Heureusement, les deux personnes effondrées s’avéraient être seulement endormie, quel soulagement. Nous nous imaginions déjà le pires, après tout la réputation de ce lieu n’est pas des meilleures comme je l’annonçais au matin. Pour le moment ça a l’air d’aller, cependant je ne sais pas combien de temps nous tiendrons encore.

Voilà que le général nous invite maintenant à changer de salle… Mais que va-t-il bien pouvoir se produire? On ne nous a toujours pas informés sur ce qui va se passer par la suite. Mais à voir l’ennui que générait ces premières heures, la suite ne s’annonce pas des meilleures. Le pire reste à venir…

Dans cette deuxième conférence on nous informe avec gentillesse que deux heures plus tard, quand il en aura fini avec nous, qu’on nous servira à manger dans la première salle que nous avions visitée en arrivant. Jusqu’à là, c’est très réjouissant. Mais une telle réjouissance n’est pas forcément bon signe. Surtout quand avec l’avancement on revoit certaines têtes tomber. Les douces paroles des soldats qui se présentent à nous semblent empoisonnées. Il devient difficile de rester éveillé. Ne pas sombrer dans le sommeil devient un réel défi à relever.

Après cette séance de lavage de cerveau, comme il nous l’a été prédit, on nous sert effectivement un bon repas. Probablement trop bon pour ne pas être un dernier.

Toute cette histoire ne me plait pas. C’est bien trop déconcertant. Cela me fait trop peur. Je ne peux plus rester en ces lieux. Là, une sortie non surveillée. Je prends mes jambes à mon cou et m’enfuis. Zut, une fois arrivé à la grille, je me fais interpeler. Ouf, juste une dame qui cherchait son chemin. Je la renseigne vite fait, sans l’informer de ce qui l’attend en ces lieux, de peur d’éveiller les soupçons et puis je poursuis ma fuite.

Le retour se fait facilement. Personne ne m’interpelle et il n’y a plus un chat dans les rues. A croire que cette institution à déjà réussi à assassiner tout le monde. Je suis bien content d’arriver enfin chez moi. Sain et sauf.

Bon quelques explications s’imposent:

Les deux cours que j’ai suivis ne sont pas aussi terribles que décrits, car ce sont probablement les deux seuls cours de théorie intéressant ou amusant que j’ai sur la semaine. Celui de l’après-midi cependant lui est bel et bien insupportable. Et ce midi le repas n’était pas si exceptionnel que ça, il est bien meilleur les lundis quand c’est boulet-frites. 😉

Mais sinon, voilà à peu près à quoi ressemblent les magnifiques jours d’écoles quand des profs n’arrivent pas à motiver leurs élèves et que pratiquement tous n’ont plus trop de motivation à suivre les cours.

La première année, on a des profs qui se prennent un temps fou à expliquer les choses avec beaucoup d’exemples d’applications. Voir beaucoup trop d’exemples de la part de certains, mais mieux vaut trop que pas assez. Cette année en deuxième, certains profs lisent leurs bouquins de manière à ce que l’on s’endorme à les écouter, alors qu’on sait très bien lire de nous même. D’autres passent tellement vite à travers un unique exemple bien trop complexe pour qu’on sache le comprendre. Au final, on se retrouve perdu.

Et si nos profs de première pouvaient revenir nous donner cours en deuxième. Nous donner des explications de trop, prendre le temps à expliquer, nous mettre un peu d’animation ou encore nous faire du théâtre auquel on ne comprend rien, mais qui finit par s’imprégner dans nos têtes,…

Il y a plusieurs façons d’enseigner et on dirait qu’en fonction des années on découvrira des méthodes différentes. Pour ma part je préférais la méthode utilisée en première.

Après oui, il n’y a pas que les profs qui sont fautifs. Les élèves ont certainement leur rôle à jouer. Mais quand on se rend compte que plus aucun élève n’est motivé, probablement qu’il y a un gros manque de motivation derrière.

Heureusement, l’informatique est un domaine sur lequel on peut absolument tout apprendre en ligne au travers de multiples tutoriels rédigés de multiples manières. C’est une grande chance que l’on a dans ces études là et que beaucoup n’ont pas.

Sur ce, je viens de finir de rédiger ma petite publication, je vais donc me pencher à nouveau sur mon petit tutoriel d’internet qui substitue ma leçon de cette après-midi.

PS: si vous faites partie de mes professeurs. Ne prenez pas ceci trop à coeur, car vous n’en être peut-être pas concerné, et même si vous l’êtes ceci était plus pour expliquer le «non-travail » des étudiants et donner un point de vue de l’autre côté de l’auditoire qui n’est généralement pas connu à celui qui enseigne.